1. Cela fait 2-3 semaines que les grandes chaleurs ont commencées. Notre département n'a pas de système de climatisation et notre édifice est le plus "neuf" des trois. En posant la question à un enseignant au sujet de l'absence d'air climatisé dans notre département, j'ai appris du coup que ce sont les élèves - donc les parents, qui ont payé pour avoir de l'air climatisé dans l'école (les classes). Oui, vous avez bien lu; c'est chose normale au Japon. Comme l'air climatisé était déjà installé et payé dans les deux autres édifices, personne n'a voulu allonger les sous d'extras pour le dernier édifice. Il fait donc 30c dans le département.
2. Nous avons vu un terrain se faire bénir. Une nouvelle maison y sera construite au courant des prochaines semaines.
3. Aller à la station d'essence est comme un retour dans les années 50. On appelle les stations d'essence des "Gasoline Stand" et le service est comme d'antan. Ils sont 2-3 personnes pour vous diriger vers la bonne pompe. On nettoie les vitres - à la main; on vérifie l'huile et la pression d'air à chaque plein; on offre des bonbons aux enfants; et la cerise sur le sundae, une personne s'assure que la voie est libre avant de vous laisser partir! Ça mes amis, c'est du service.
4. Après 3 ans d'enseignement à temps plein, les enseignants doivent aller faire un stage pour "voir" ce qui se passe ailleurs dans la société. Le pire dans tout ça, c'est qu'ils doivent le faire pendant les 4-5 jours de congé qu'ils ont pendant l'été et, en plus, se taper des boulots du style commis dans une pharmacie. J'aurais compris si c'était pendant leur scolarité, mais de là à leur faire subir une semaine de boulot inutile est une perte de temps totale...
5. Les élèves sont maintenant en vacances depuis le 21 juillet (!) et ce, jusqu'au 20 août. Ce matin, très tôt, j'ai croisé beaucoup de jeunes dans les parcs. La première pensée qui m'est venue en tête était le début des camps de jour. Et non ! En parlant avec une enseignante, elle me racontait que lorsque les vacances d'été commencent, le comité de parents de l'école s'arrange pour que les jeunes fassent de l'exercice très tôt à tous les matins afin qu'ils restent actifs. On peut-tu les laisser tranquilles 30 secondes... pauvres p'tits loups ! Après ça on se demande pourquoi ils sont si fatigués.
jeudi 21 juillet 2011
vendredi 1 juillet 2011
Festival en juillet
Tanabata (La septième nuit [du septième mois]) est la fête japonaise des étoiles provenant des traditions O-Bon et de la fête des étoiles chinoise, Qīxī.
La fête a généralement lieu le 7 juillet ou le 7 août, et célèbre la rencontre d'Orihime et Hikoboshi. La Voie lactée sépare les deux amants, et il leur est permis de se rencontrer une fois l'an. Ce jour particulier est le septième jour du septième mois lunaire du calendrier luni-solaire
La légende
Il existe de nombreuses variantes de cette légende chinoise, mais la trame, elle, est commune. Il s'agit d'une histoire d'amour entre une déesse tisserande et un bouvier (mortel). Pour lui, la déesse quitte le monde céleste, l'épouse et lui donne deux enfants (une fille et un garçon). La mère de la déesse (ou son père) finit par retrouver sa fille et la fait revenir dans le monde des dieux. Pour empêcher le bouvier, bien décidé à retrouver sa femme, d'arriver jusqu'au royaume céleste, les dieux séparent les deux mondes par une rivière infranchissable, la Voie lactée. Devant les pleurs incessants de la princesse d'un côté et du bouvier et de ses enfants de l'autre, les dieux leur accordent de pouvoir se retrouver une fois par an, la septième nuit du septième mois.
Célébration
De nos jours, les Japonais célèbrent cette fête en portant le yukata (kimono d'été)et en décorant les feuilles de bambou. Ils écrivent leurs souhaits, parfois sous forme de poèmes et les accrochent sur les feuilles. On dit qu'Orihime et Hikoboshi feront que les vœux deviennent réalité. Après avoir été décoré, vers minuit ou le jour suivant l'arbre en bambou est jeté dans un fleuve ou brûlé pour que les vœux se réalisent.
La fête a généralement lieu le 7 juillet ou le 7 août, et célèbre la rencontre d'Orihime et Hikoboshi. La Voie lactée sépare les deux amants, et il leur est permis de se rencontrer une fois l'an. Ce jour particulier est le septième jour du septième mois lunaire du calendrier luni-solaire
La légende
Il existe de nombreuses variantes de cette légende chinoise, mais la trame, elle, est commune. Il s'agit d'une histoire d'amour entre une déesse tisserande et un bouvier (mortel). Pour lui, la déesse quitte le monde céleste, l'épouse et lui donne deux enfants (une fille et un garçon). La mère de la déesse (ou son père) finit par retrouver sa fille et la fait revenir dans le monde des dieux. Pour empêcher le bouvier, bien décidé à retrouver sa femme, d'arriver jusqu'au royaume céleste, les dieux séparent les deux mondes par une rivière infranchissable, la Voie lactée. Devant les pleurs incessants de la princesse d'un côté et du bouvier et de ses enfants de l'autre, les dieux leur accordent de pouvoir se retrouver une fois par an, la septième nuit du septième mois.
Célébration
De nos jours, les Japonais célèbrent cette fête en portant le yukata (kimono d'été)et en décorant les feuilles de bambou. Ils écrivent leurs souhaits, parfois sous forme de poèmes et les accrochent sur les feuilles. On dit qu'Orihime et Hikoboshi feront que les vœux deviennent réalité. Après avoir été décoré, vers minuit ou le jour suivant l'arbre en bambou est jeté dans un fleuve ou brûlé pour que les vœux se réalisent.
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